Menudu jour; Nos Fournisseurs; Avis; Contact; La carte; Réservation. Nom Prénom * Téléphone * Date * Jour. Mois. Année. Heure: Minute. Heure * Nombres de personnes * Envoyer . X. Crêpier à Noyal-Châtillon-sur-Seiche. 02 99 05 10 22. 15 rue Francois Chapin 35230 Noyal-Châtillon-Sur-Seiche. Contactez-nous. Rappel Gratuit. Où manger du kig ha farz Noyal-Châtillon-sur-Seiche. 387Restaurants à Île d'Arz ou diner ou déjeuner. Carte des Restaurants avec coordonnées, avis et photos. Liste de tous les restos poster vos commentaires. Île D'Arz Restaurant. 387 Restaurants à Île d'Arz ou diner ou déjeuner. Carte des Restaurants avec coordonnées, avis et photos. Liste de tous les restos poster vos commentaires . Ajouter un lieu KigHa farz - Avis de voyageurs sur Restaurant de l 3. Kig Ha Farz ‍ restaurant, Brest - Restaurant ️ reviews. 4. Où manger du Kig ha Farz | Kig ha farz. 5. Le meilleur Kig ha Farz de Bretagne - Avis de voyageurs 6. 7. un des meilleurs Kig Ha Farz que nous ayons jamais mangés 8. Le Kig Ha Farz revient dans votre restaurant au Fast Money. Nous avons 1524 invités et 33 inscrits en ligne IndexSujets récentsRechercheConsignes d'indexation Forums Le vin et la table Que boire avec un kig ha farz ? legui Auteur du sujet Hors Ligne Utilisateur Enregistré Que boire avec un kig ha farz ? a été créé par legui Petite demande innocente et vous, que serviriez-vous avec ce monument de la gastronomie bretonne qui, quand vous le préparez, vous repeint la cuisine du sol au plafond ? Ce ragoût aux deux viandes qui vous prend la journée ? J’ai essayé des rouges légers, des rouges puissants, mais n’ai pas été convaincu. Peut-être un blanc demi sec serait-il plus adapté ? Et ne me parlez pas de rosé hein Bref, quelles sont vos expériences ? Je suis tout ouïe ! 13 Jan 2019 1658 1 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. GILT Hors Ligne Utilisateur Enregistré Réponse de GILT sur le sujet Que boire avec un kig ha farz ? Il faut rester sur un rouge léger un gamay par exemple qui mettra en avant le plat. De toute façon il ne faut trop boire quand on mange du kit ha farz car sinon le farz va gonfler dans l'estomac et là ... Cordialement. Gilles 13 Jan 2019 1825 2 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Vougeot Hors Ligne Modérateur Enregistré Réponse de Vougeot sur le sujet Que boire avec un kig ha farz ? La première idée qui me vient à l'esprit, c'est un cidre fermier. La deuxième, ce serait des bières au blé noir une Telenn Du, brassée par Lancelot ou une Gwiniz Du, brassée par Britt. Enfin, je servirai un pinot blanc, un sylvaner ou un savennières. 13 Jan 2019 1841 3 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Eric B Hors Ligne Utilisateur Enregistré Réponse de Eric B sur le sujet Que boire avec un kig ha farz ? Je pensais comme Vincent à une bière bretonne au sarrasin. Sinon, je partais aussi en Alsace, mais avec un pinot gris qui a des saveurs légèrement fumées/champignonnées qui pourraient bien convenir au plat. 13 Jan 2019 1912 4 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. DaGau Hors Ligne Utilisateur Enregistré bassaler Hors Ligne Utilisateur Enregistré Réponse de bassaler sur le sujet Que boire avec un kig ha farz ? L'été dernier, en Kerlouan, nous avions tenté une battle sur un kig ha farz Je reproduis in extenso mes impressions d'alors. DOCG Barbaresco, Pajoré 2006, Sottimano nez fruité un peu fermé à ce stade. Fine aromatique sur un équilibre élégant. Belle bouche assez corpulente, avec des tannins veloutés encore un peu anguleux. Fraîcheur mentholée à l’aération. Bouche un peu austère, plus cistercienne que pinotant. Jeune aujourd’hui. Très Bien DOC Rioja, Gran Reserva 904 2005, La Rioja Alta très grand nez fruité, profond, sur une corpulence bien mesurée. Notes résinées et de cédrat, laissant une impression de fraîcheur. Elégance superlative en bouche, avec une acidité redoutable totalement intégrée. Tannins soyeux. Développement en bouche sur une sorte de sphéricité avenante, étirée. Vibration en finale presque crémeuse », avec une touche épicée et des notes de feuilles mortes. Excellent ++ Avantage net au Rioja Voili voilou ! 14 Jan 2019 0841 6 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. LEGOFFE Hors Ligne Utilisateur Enregistré Réponse de LEGOFFE sur le sujet Que boire avec un kig ha farz ? nous en avons mangé un hier! deux vins essayés qui allaient bien Sancerre rouge 2006 Comte Lafond bon pinot à point Fleurie clos de la Roilette 2010 griffes du marquis excellennt mais un poil tanique pour ce plat j'ai failli tenter Valpolicella ruberpan 2014 Pieropan, et je pense que ca aurait été le meilleur choix 14 Jan 2019 1003 7 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Frisette Hors Ligne Utilisateur Enregistré legui Auteur du sujet Hors Ligne Utilisateur Enregistré Réponse de legui sur le sujet Que boire avec un kig ha farz ? Merci de vous être prêtés à l'exercice ! Je tenterai divers accords ce week-end, et vous tiendrai au jus. Gamay, j'y avais pensé - mais pourquoi diable aller en chercher ailleurs que sur sa terre d'élection ? Effectivement, pour les inconditionnels du rouge, il en faut un léger, et relativement simple. Je reste sur mon idée de blanc demi-sec un vouvray le farz blanc est légèrement sucré, et agrémenté de quelques raisins secs, si ma mémoire est bonne. Quant au lipig deux tonnes de beurre pour faire confire des oignons roses, il est presque sucré, lui aussi. Bref, je vais tenter ! A suivre 14 Jan 2019 1401 9 Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Modérateurs Gildas, PBAES, Martinez, Vougeot, jean-luc javaux, Cédric42120, starbuck ConnexionDerniers messages Voici la recette du fameux kig ha farz », un plat breton monumental, pour une dizaine de personnes. Plus de cinq heures de cuisson mais une préparation plutôt simple. Il vous faut donc pour ce plat, une marmite géante, des sacs à farz, une brouette de légumes et une dizaine de convives… Nine a eu la gentillesse d’accepter de me donner sa recette et de la publier ici pour notre plus grand plaisir. Même si ce n’est pas un plat que l’on peut faire trop souvent chez soi, il est vraiment agréable à préparer à plusieurs et de discuter tout en épluchant les légumes. Je vous présente donc Nine qui nous donne donc ses explications pour ce plat gargantuesque. Avant de commencer la préparation, je me suis aventuré à lui poser quelques questions! Bernard Nine, raconte nous un peu qui t’a transmis cette recette de kig ha farz? » Nine Alors cette recette me vient de ma grand-mère qui tenait une petite crêperie et qui nous recevait une fois par mois, dans une grande famille, pour le kig ha farz. B Et où en Bretagne? » N À Brest, à Lambezellec, pour les bretons qui connaissent, en bas du bourg. C’était un grand repas de famille et tout le monde mettait la main à la pâte, les femmes étaient à la cuisine, les hommes papotaient. » B Donc tu cuisines le kig ha farz depuis longtemps? » N Oui depuis toute petite, enfant, j’ai l’habitude de cuisiner ce plat! » B Et tu transmets autour de toi cette recette? » N Oui je fais cette recette assez souvent à mes enfants, pour les amis, à la famille. B Pour ceux qui ne connaissent pas ce que cela veut dire, peux tu nous nous traduire kig ha farz? » N Cela signifie viande avec far et far vient en fait de farine. » B Y-a t-il plusieurs façons de préparer le kig ha farz? N » Oh oui bien sûr à mon avis il y a plusieurs façons de le préparer. Il y a des variations régionales, familiales. Celui-ci est plutôt un kig ha farz du Léon. Après bien sûr dans chaque famille il y a des variantes que l’on se transmet de générations en générations. Grand mères, mères, filles… Mais c’est toujours sensiblement la même chose. Je pense que les ingrédients sont presque les mêmes. On peut mettre du jarret du porc et la palette en plus du jarret de boeuf. Certains mettent du jarret de porc à la place de la palette. Mais c’est sensiblement la même chose, un gros pot au feu avec du far. » B Et toi à côté de ça, tu réalises des crêpes depuis toujours également? » N Les crêpes je suis née dedans! Je maitrise bien les crêpes. Ma grand mère était donc crêpière, ma maman était crêpière, mes frères font des crêpes, toute ma famille cuisine des crêpes. J’ai le bilig à la maison, on a toutes les recettes de crêpes que l’on se passe depuis la grand mère. » B Qu’est ce qui t’a plu dans l’idée de mettre le kig ha farz sur mon site? » N Bien cette recette, c’est quand même ma petite enfance, c’est la famille, les frères, les soeurs, les cousins, c’est vraiment familial. C’est le coeur. Je pense que c’est ça. » B Tu as beaucoup voyagé. Est ce que le kig ha farz a le même goût loin de la Bretagne, ou est-il meilleur en ici? » Nine a habité dans plusieurs pays pendant de nombreuses années. N Et bien le préparer loin de la Bretagne, c’est difficile car on ne trouve pas facilement les ingrédients. On ne trouve pas la palette salée, il y a beaucoup de choses que tu ne trouves pas ailleurs qu’en Bretagne, enfin dans les pays étrangers car je pense qu’en France on peut trouver ça. J’ai habité à Tahiti et on ne trouve pas la palette… À la réunion, la palette salée n’existe pas. Donc c’est difficile, ce n’est pas la même saveur! » Recette du Kig ha farz pour 10 à 12 personnes -2 jarrets de boeuf de 900g chacun -1 palette de porc demi-sel de 1400g -1 saucisse de Morteaux de 400g -6 poireaux -12 carottes -1 chou blanc -10 navets -1 oignon piqué de 2 clous de girofle -1 cuillerée à soupe rase de gros sel Lipig on peut mettre moins d’oignons, mais c’est terriblement délicieux comme ça! -12 oignons -300g de beurre demi-sel -1 cuillerée à café de sel Far blanc -250g de farine de froment -50g de sucre -4 oeufs -250ml de lait demi-écrémé -1/2 cuillerée à café de sel Far noir -335g de farine de blé noir -20g de farine de froment -1 oeuf -100g de saindoux -300ml de bouillon de cuisson -250ml de lait demi-écrémé -1/2 cuillerée à café de sel Commencer par réunir les ingrédients. Ce qui nécessitera sans doute une brouette! Plus sérieusement, il est important de choisir de eaux légumes pour cette recette. Tous ceux que l’on voit ici, viennent d’une ferme dans le Finistère nord. Des carottes de sable, de beaux oignons, des pommes de terre inimitables… Pour la viande, il faut choisir également le meilleur. On voit ici la saucisse de Morteaux, les jarrets de boeuf et la palette de porc. Il faut tout d’abord enlever le maximum de gras dans la palette de porc. C’est en effet ce gras qi va donner beaucoup de mousse et donc de travail par la suite. Il faut se procurer la marmite la plus grande que l’on peut trouver. On voit bien la taille de cette marmite, surtout quand on voit Nine à côté! Verser de l’eau jusqu’à un peu plus que la moitié de la capacité de cette gigantesque marmite. Mettre la palette dégraissée et les jarrets. Chauffer la marmite sur feu fort vu la quantité, il ne faut pas hésiter à bien chauffer!. Avec une écumoire, débarrasser la mousse qui se forme en surface. Pendant ce temps, préparer les légumes. Couper et la ver les poireaux. Couper pour séparer le blanc de la fane des poireaux. Ficeler les blancs ensemble et les fanes ensemble également. Éplucher les carottes, les navets. Au bout d’une heure, ajouter le chou vert entier. Il n’y a pas besoin de le couper. Mais également les carottes… Les navets… Et les fanes de poireaux, mais pas les blancs! Piquer un oignon avec deux clous de girofle. Et l’ajouter dans le bouillon. Fermer et laisser cuire sur le feu pendant deux heures avant d’ajouter les sacs de farz. Préparer pendant ce temps le lipig qui prend à peu près une heure. Éplucher et couper en petits morceaux les oignons. Mettre le beurre dans une large poêle nous avons cuit le lipig dans un wok, ce qui s’est avéré très pratique. Le faire cuire sur feu doux pour le faire fondre parfaitement. Ajouter les oignons. Et laisser cuire doucement en raclant doucement et régulièrement le fond pour éviter que les oignons ne collent. Les oignons vont doucement mais sûrement caraméliser. Jusqu’à donner le fameux lipig. On le voit pas forcément, mais c’est bien gras comme il faut! Quand le lipig est presque terminé, enlever les yeux » de graisse dans le bouillon. Cela peut paraitre surprenant de dégraisser d’un côté pour mettre plein de beurre de l’autre, mais il ne faut pas oublier que l’on va boire le bouillon! Et c’est plus agréable de boire un liquide sans gras tout de même! Par contre, il est vrai que l’on va se rattraper généreusement avec le beurre sur les farz! On voit bien que l’on peut enlever pas mal de gras sur la surface du bouillon. Trois verres ont été enlevés. Préparer maintenant les farz. D’un côté le far noir. Mettre la farine de blé noir et la farine de froment dans une terrine. Ajouter l’oeuf. et mélanger un peu. Mettre le saindoux dans un bol et ajouter le bouillon bien chaud. Mélanger pour faire fondre le saindoux. Ajouter le bouillon sur la farine. Puis battre avec un fouet manuel. Ajouter le sel et le lait. Verser la pâte dans un sac à far. Bien ficeler le sac et le mettre dans le bouillon. En même temps que le sac, ajouter les blancs de poireaux. Faire la même chose avec le far blanc et procéder comme une pâte à crêpe classique. Ajouter la saucisse de Morteaux. Laisser cuire deux heures de plus… Une heure avant de servir le kig ha farz » ajouter les pommes de terre épluchées non coupées. Le kig ha farz cuit donc encore une heure avec les pommes de terre juste pour être clair!. Pour le service, verser le bouillon dans une soupière. On voit bien que le bouillon a pris une belle couleur et qu’il n’est presque pas gras! On le sert en général avec des croûtons de pains juste passé au four. Et là on peut commencer à savourer le repas! En commençant avec un ou deux bols de bouillon… Puis on rentre dans le vif du sujet avec les farz. Il suffit d’enlever les sacs et de sortir les farz avec précaution. Puis de les couper en tranches. Les deux sont autant délicieux l’un que l’autre. Réchauffer le lipig. Et sortir la viande que l’on coupera avant de servir elle se coupe à la cuiller!. Sortir les légumes de la marmite en faisant de ne pas se brûler car c’est très chaud. Il ne reste plus qu’à prendre un peu de tout dans son assiette… Et de ne pas oublier de se servir généreusement de lipig bien chaud avec ses oignons caramélisés. Fleurons de notre patrimoine, ces nourritures de patience, souvent généreuses, se moquent du temps et des modes. À ne pas laisser filer, l' blanquette de veau à la FerrandaiseLe lieu. À deux pas du Luxembourg, un bistrot tout en pierres et poutres apparentes, nommé en hommage à une race de ­vaches du Puy-de-Dôme. Celle-ci décore un pan de mur de la salle principale, chaleureuse et élégante à la fois. Touristes et voisins s'y délectent d'une cuisine traditionnelle française fort bien récitée. Un vrai bon plan dans le le jeune chef est originaire des Côtes-d'Armor, il n'en maîtrise pas moins la préparation du bovidé auvergnat, à l'image de sa belle blanquette de veau, proposée dans le menu du soir avec un supplément de 4 €. Complément largement justifié par la généreuse quantité de viande plusieurs pièces ni trop grasses ni trop gélatineuses, servie dans une large cocotte en fonte, avec sa petite sœur garnie d'un honnête riz basmati aux oignons. Les morceaux baignent dans la sauce crémée, garnie de ce qu'il faut de champignons, carottes et persil bio ou locavores. On en meuglerait de Le service ultra-prévenant, la possibilité de privatiser le petit salon et la cave voûtée, les prix pas La blanquette manquant un poil d' Ferrandaise. 8, rue Vaugirard, VIe. Tél. 01 43 26 36 36. Tlj sf sam. midi, dim. et lun. midi. Menus 16 € déj., 35 € suppl. blanquette 4 €, 48 €.Un bœuf bourguigon chez RenéLe lieu. Un marqueur fort du bas Saint-Germain que ce bistrot des années 1950, délicieusement vintage avec ses suspensions à boules, son vieux zinc, son nappage immaculé et ses serveurs en tablier. Une époque que vous raconte aussi les affiches datées, photos ­anciennes et habitués rondouillards qui décorent la salle plaisante d'un supplément de plat. L'archétype du bon bourguignon viande tendre et très compotée, sauce profonde avec lardons et champignons, pommes de terre fondantes, servi à l'assiette avec une deuxième rasade à dispo dans la petite cocotte Staub en fonte. Un plat de ménage bien tenu, généreux et parfaitement maîtrisé, qui a le charme des préparations qui ont fait long feu».Bravo. L'adresse tourne rond et c'est bien agréable, les entrées d'antan blettes gratinées, œuf mayo….Dommage. L'absence de formule ou de René. 14, boulevard Saint-Germain, 01 43 54 30 23. Tlj sf dim. et lun. Carte env. 40 €. Bœuf bourguignon 21 €.Kig Ha Farz à l'Auberge du Roi Gradlon. Kig Ha Farz à l'Auberge du Roi GradlonLe lieu. Il y a quelques saisons, Nicolas Castelet nous avait bluffés avec son Auberge du XV et son registre classique ultra-léché, prenant à contre-pied la mode des assiettes d'assemblage. Le voilà qui double la mise avec une petite sœur déclinant avec la même audace le terroir breton, essentiellement marin crustacés, huîtres, poissons. Le tout dans un décor chaleureux de pierres apparentes et cuisine plat. Entorse viandarde au concept, ce cousin à la mode de Bretagne du pot-au-feu mérite clairement le détour. Bœuf presque confit, lard paysan et jeunes légumes de saison font trempette dans un modèle de bouillon concentré, anobli à la truffe noire et lié au far blanc froment, compressé comme un petit Traou Mad et préalablement déposé au milieu de l'assiette. Une démente gourmandise La fraîcheur et la qualité des produits. L'accueil adorable. Le kouign-amann Les prix du Roi Gradlon. 36, boulevard Arago, XIIIe. Tél. 01 45 35 48 71. Tlj sf mer. et jeu. Menus 30 € déj., 68 € et 110 €. Carte 50-120 €. Kig Ha Farz 34 €.Un cassoulet à l'AssietteLe lieu. En 2008, Lulu, cui­sinière hors pair, est partie cultiver son jardin dans le Morvan, laissant les clés de son Assiette à David Rathgeber, ancien lieutenant d'Alain Ducasse Aux Lyonnais, Benoit, épris lui-même de cuisine bourgeoise ­canaille». Rien ne change ­mêmes tables sans nappe, mêmes admirables fixés sous verre de cette ancienne ­charcuterie, mêmes serveurs adorables, mais tout change, puisque le chef souhaitait ­imprimer à son tour sa ­patte dans ce bistrot d' plat. Une potée pour rugbymen, diraient certains, qui raconte la générosité du Sud-Ouest avec ses confit de canard, saucisse au couteau, travers de porc, saucisson à l'ail et collier d'agneau, accompagnés de haricots mogettes de Vendée, préférés aux traditionnels tarbais. C'est peu dire qu'il s'agit là d'un plat de patience dont tous les ingrédients ont été cuits séparément, pour préserver les sucs et les Toujours le poulet rôti du dimanche Pas d'amortisseurs sonores moquette, rideaux quand la salle affiche 181, rue du Château, XIVe. Tél. 01 43 22 64 86. Tlj sf lun. et mar. Formule à 23 € déj.. Carte env. 50-60 €. Cassoulet 29 €.Un pot-au-feu à la GauloiseLe lieu. Une brasserie chargée d'histoire qui eut ses heures de gloire Mitterrand y dînait tous les dimanches soir, Henri Leconte y fêta son mariage…, de pénitence, mais qui, aujourd'hui, a trouvé sa vitesse de croisière grâce des formules et menus séduisants tant le midi que le soir, un accueil très pro et toujours ce beau cadre cossu fait de banquettes en velours, moulures et plat. Servi dans sa cocotte en fonte, il est de facture classique, avec bouillon, viande bien tendre, légumes ad hoc et maousse os à moelle bien rempli. Les amateurs pourront presque faire leur entrée de ce dernier sur un pain, très bon, tant il est abondant. C'est d'ailleurs aussi lui qui donne toute son onctuosité au L'extraordinaire souf­flé au Grand Marnier, monument de gourmandise, le service très Un peu plus de légumes nous irait aussi!La Gauloise. 59, avenue de la Motte-Picquet, XVe. Tél. 01 47 34 11 64. Tlj. Formule à 24,50 €, menu à 29,50 €. Carte env. 50 €. Pot-au-feu 25 €.Baeckeoffe au Bec Rouge. Sébastien SORIANO/Le FigaroUn baeckeoffe au Bec RougeLe lieu. Une robe traditionnelle alsacienne encadrée sur un mur donne le ton. Voici une winstub sans prétention, à deux pas de la tour Mont­parnasse. Clientèle étudiante. Le baeckeoffe - békofeu», békéof» ou békaofa», selon les interprétations - n'est à l'ardoise qu'une fois par semaine, le lundi. Et pour cause…Le plat. Le bœuf, l'agneau et le porc sont marinés pendant trois jours. Le plat est ensuite précuit quatre heures au minimum le dimanche avant d'arriver sur votre table le lundi, tout chaud, dans une terrine en terre. La recette répond au standard en vigueur du côté de Mulhouse le bouillon est généreux et la pomme de terre, bien présente, s'éclipse tout de même devant la carotte, l'oignon et le Le service amical et la formule Le grand écran qui casse l'ambiance en diffusant les Bec Rouge. 46 bis, boulevard du Montparnasse, XVe. Tél. 01 42 22 45 54. Tlj. Formules à 20 € plat + entrée + dessert + boisson + café et 30 €.Un gigot de sept heures à l'Épi d'OrLe lieu. Calfeutré dans son entre-soi couples curieux et fidèles à la gouaille raccord avec le décor. De toute évidence, la tapisserie est d'origine Les Halles, Belle Époque, 1910. Un bougeoir est posé sur la table, une lampe en verre soufflé allumée derrière vous, et, sur le mur, une assiette en porcelaine où est inscrit Vive le Roy». Sur l'ardoise on déchiffre gigot à la cuiller».Le plat. L'agneau des Hautes-Alpes est livré le mardi et mijoté le lendemain. À ­venir déguster, donc, de préférence le jeudi. La souris est bien confite mais ne présente pas le fondant accoutumé. Elle est servie avec une assiette de légumes au choix. Gratin dauphinois de belle Le service badin, propre aux canons du genre. Et les petites attentions comme le beurre, le saucisson et les cornichons servis avant la L'assiette un peu d'Or. 25, rue Jean-Jacques Rousseau, Ier. Tél. 01 42 36 38 12. Tlj sf sam. midi et dim. Carte env. 25-40 €. Souris d'agneau 27 €.Un cochon aux épices à l'Avant-GoûtLe lieu. Sans grand charme banquette en skaï rouge, menuiseries jaune poussin et spots au plafond qui vous tombent droit sur le visage, ce n'est pas pour lui que vous plat. Réinterprétation réussie! Le chef Christophe Beaufront revendique une cuisine inventive» où les standards tricolores prennent des accents orientaux. On esquive le pot-au-feu retour de Tokyo» avec tempura et nouilles soba pour la version cochon aux épices» mijotée quatre heures avec badiane, genièvre, cannelle, safran, gingembre… L'assiette s'affiche toute en couleurs, le jarret et la palette sont accompagnés de fenouil et de patates douces. Une crème curry-coco tapisse le fond du plat et le bouillon est à boire séparément dans un verre. Pourquoi pas?Bravo. L'adresse, une valeur sûre du Le service manquant de 26, rue Bobillot, XIIIe. Tél. 01 53 80 24 00. Tlj sf dim. et lun. Formule 35 €. Pot-au-feu 19,50 €. Carte env. 35-45 €.Poule au pot façon Henri IV à la Poule au Pot. LA POULE AU POTUne poule au pot façon Henri IV à la Poule au PotLe lieu. Les Halles, période Ventre de Paris». On s'y croirait. Piaf fredonne encore dans nos oreilles, les serveurs pirouettent et vibrionnent. Clientèle de touristes bien avisés. Au moment de commander la poule au pot façon Henri IV», on a même droit à la formule oubliée l'aile ou la cuisse?». Nostalgie!Le plat. Elle pourrait facilement jouer les attrape-nigauds. Elle se révèle sans tricherie. Le plat est apporté dans sa grande soupière blanche. On sert à la louche le bouillon chaud du lard, du saucisson à l'ail, carottes, navets, poireau, pommes de terre. Et surtout une belle et tendre pièce de volaille. Les pots de moutarde, cornichons et gros sel complètent l' La viande de choix achetée à Rungis trois fois par semaine une poule de 1,9 kg, ni plus ni moins, originaire de Bretagne ce Les prix un peu gonflés. Passons sur l'aile servie à la place de la Poule au Pot. 9, rue Vauvilliers, Ier. Tél. 01 42 36 32 96. Tous les soirs sf dim. de 19 h à 5 h du matin. Carte env. 45-70 €. Poule au pot 25 €.Un coq au vin à la Biche au BoisLe lieu. Voilà un grand ­classique de la bonne chère dont on ne parle pas si souvent. Resté dans son jus à l'an­cienne, il convie les ­touristes conquis d'avance et les habitués en chaussons dans un décor de brasserie classique imprenable nappes blanches, banquettes marron, chaises en bois, carre­lage vintage, serveurs en ­tablier…. Un air connu mais qui est joué ici avec plat. Annoncé comme une spécialité de la maison, le coq au vin débarque comme une star dans sa casserole en fonte. Hélas, ce soir-là l'animal se présente en petite forme. La faute à une sauce pas ­assez liée, les sucs ayant ­coa­gulé au fond de la casserole. Mais après quelques coups de cuillère, le plat retrouve un peu d'allant et la recette, servie généreu­sement avec pommes de terre et ­petits champignons, Le rapport qualité-prix très correct du menu, beau plateau de fromages ­ Les tables très ­serrées à certains Biche au Bois. 45, avenue Ledru-Rollin, XIIe. Tél. 01 43 43 34 38. Tlj sf sam., dim. et lun. midi. Menu 29,90 €. Carte env. 30-50 €. Coq au vin 18,50 €.

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